Asufin critique les « fautes professionnelles » des banques en facilitant les comptes de paiement de base
MADRID, 5 octobre ( ) –
La asociación de usuarios financieros Asufin ha criticado que los bancos incurren en « mala praxis » a la hora de facilitar y tramitar las cuentas de pago básicas para los colectivos más vulnerables, como personas migrantes y refugiadas, según se desprende de un estudio que ha publicado ce jeudi.
En ce sens, l’organisation assure que certaines entités obligent les clients à contracter des produits liés à ce type de compte. Quoi qu’il en soit, faute de documentation écrite sur ces demandes, Asufin indique qu’il est « difficile » de dimensionner ces cas.
De même, il a également critiqué le fait que la réglementation est « déroutante » et rend difficile l’accès à ce type de comptes. Asufin souligne les réglementations anti-blanchiment d’argent, qui entraînent la fermeture de nombreux comptes de paiement de base.
L’association a ainsi exhorté les entités financières à appliquer les exigences de la réglementation « de manière flexible et raisonnable en fonction du profil de risque ». Ils ont également demandé un « procès de proportionnalité » pour peser les différents intérêts.
Un autre obstacle est le « réseau bureaucratique des migrants et des réfugiés » qui rend souvent impossible l’ouverture d’un compte bancaire, un élément qui fait la différence entre recevoir un salaire ou des avantages permettant la survie de ces groupes. Ainsi, Asufin demande que les entités à but non lucratif ou du tiers secteur puissent délivrer des certificats de risque d’exclusion financière.