Felipe González coïncide avec Page et défend que les compétences en immigration ne sont pas "ni transférables ni délégables"

Felipe González coïncide avec Page et défend que les compétences en immigration ne sont pas « ni transférables ni délégables »

Madrid 6 (Europa Press) –

L'ancien président du gouvernement, le socialiste Felipe González, défend que les pouvoirs d'immigration ne peuvent pas être transférés ou délégués, après que le pacte a atteint entre PSOE et JUNS qui permettra au généralitat de la Catalogne d'exécuter et de proposer des expulsions et qu'il y a une présence de mossos d'esquadra aux frois.

De cette façon, González est parti en défense du président de Castilla La Mancha, Emiliano García Page, pour maintenir que les pouvoirs d'immigration « ne sont ni transférables ni délégables », comme indiqué dans les déclarations à Europa Press.

L'ancien président dit qu'il est « totalement convenu » avec le poste exprimé ce jeudi par García Page, qui a accusé le pacte atteint entre PSOE et JUNS pour déléguer le Generalit de Catalogne, les pouvoirs d'immigration.

García Page a déclaré qu'il se sentait « embarrado » et « rougit » si l'on considère que le PSOE est convenu avec la « pire » à droite, se référant au parti de Carles Puigdemont. Il a également souligné que cet accord « complètement dynamite » la possibilité d'atteindre un pacte d'État sur la migration avec une communauté autonome.

Felipe González signe ces déclarations du chef régional et souligne que les pouvoirs d'immigration sont exclusifs à l'État, comme indiqué dans la Constitution, et ne peuvent donc pas être transférés ou délégués.

De cette façon, la thèse défendue par le gouvernement est opposée, ce qui fait valoir qu'avec cet accord, l'État ne cède pas à la Catalogne les pouvoirs en la matière mais les délecte simplement.

Cela a été indiqué mardi le ministre des migrations, Elma Saiz, qui était chargée de défendre l'accord lors de la conférence de presse après le Conseil des ministres. Ainsi, il a essayé de différencier une affectation et une délégation, ce qui s'est produit à son avis.

Le gouvernement a reçu de nombreuses critiques depuis l'opposition de cet accord, de l'opposition, mais aussi de ses partenaires parlementaires. Le plus précis leur a délivré des podémos, qui le placent comme « raciste » et garantit qu'il votera au Congrès.

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