García-Gallardo dénonce le transfert des « immigrés illégaux » d'un point à un autre du pays au moyen de taxis privés
LEÓN, 19 décembre ( ) –
Le porte-parole de Vox dans les Cortes de Castilla y León, Juan García-Gallardo, a dénoncé ce jeudi à Villaquilambre (León) le transfert d' »immigrés illégaux » d'un point à un autre du pays au moyen de taxis privés.
A travers un communiqué recueilli par Europa Press, le représentant régional a voulu « réaffirmer son engagement dans l'application de politiques de lutte contre les mafias du trafic humain illégal ».
La plainte a été déposée devant les portes d'un hôtel, aujourd'hui transformé en centre d'accueil pour personnes en situation de protection internationale, où un groupe de Mérida (Badajoz) est arrivé il y a quelques semaines dans un taxi privé.
Selon Vox de León, cette pratique est « courante » parmi les organisations qui travaillent dans les centres d'accueil susmentionnés, dans le cadre d'un programme financé par le ministère de l'Inclusion, de la Sécurité sociale et des Migrations du gouvernement espagnol, dont l'exécution est réalisée dans le cadre le cadre d'un contrat privé.
Accompagné de l'ancien député de Vox au Congrès des députés, Pablo Calvo, García-Gallardo a défendu que « les mafias du trafic illégal d'êtres humains se camouflent sous le couvert d'organisations non gouvernementales aux fins prétendument humanitaires ».
Le procureur de Vox Burgos pour la province de Valladolid a exprimé sa « préoccupation » face à « la présence croissante de ces mafias, qui facilitent l'arrivée illégale de centaines de personnes dans notre pays ».
« Grâce aux efforts et au dévouement de l'équipe Vox de León, nous avons pu découvrir comment se déroulent ces pratiques illégales, qui se déroulent la nuit et sans que ces personnes ne frappent à notre porte », a-t-il déclaré.
Le porte-parole des Cortès a souligné l'importance de promouvoir « une immigration légale, ordonnée et qui nous permette de connaître les intentions de ceux qui arrivent en Espagne », car, selon ses propres termes, « il est essentiel de savoir à qui nous avons affaire ». avec : leurs antécédents carcéraux, leur situation sanitaire et, surtout, que ceux qui ne suivent pas le bon chemin et se mettent entre les mains des mafias, ont un billet retour.