La Police Nationale arrête cinq personnes pour trafic d'êtres humains dans la Région
Des organisations établissent des autoroutes maritimes pour transporter les citoyens étrangers vers les côtes espagnoles
Les agents de la Police Nationale ont arrêté cinq hommes d'origine algérienne comme auteurs présumés d'un crime contre les droits des citoyens étrangers, car ils sont considérés comme responsables de la conduite des bateaux de type « patera » et du transport de nombreuses personnes des côtes algériennes vers la côte. de la Région de Murcie, selon des sources policières.
L'intervention humanitaire menée par la Police Nationale en collaboration avec le reste des organisations, ONG et associations impliquées dans l'accueil des immigrés, est complétée par un travail coordonné entre différents groupes de recherche, dans le but de pouvoir déterminer l'existence d'une affaire criminelle. organisation dédiée à la traite des êtres humains.
Au cours de l'enquête, les agents spécialisés de la Police Nationale ont pu rassembler les déclarations des témoins et les preuves nécessaires pour identifier pleinement les capitaines des navires qui avaient atteint les côtes de la Région de Murcie, et les accuser d'un délit contre la droits des citoyens étrangers.
Les voyages en mer effectués par ces capitaines de bateaux présentent un risque réel pour la vie et l'intégrité des personnes, car ils sont effectués dans des bateaux très précaires, sans aucune protection ni mesure de sécurité, confrontés à des conditions météorologiques défavorables et subissant les effets néfastes des longues voyage. exposition au soleil et à l’eau de mer.
Finalement, les cinq détenus ont été placés en garde à vue, décrétant leur entrée immédiate en prison provisoire sans caution, en attendant la tenue du procès oral correspondant, et ils risquent des peines de prison allant de 4 à 8 ans de privation de liberté.