Le Conseil des Maires de Lanzarote soutient la Déclaration d'Urgence Sociale du Cabildo en raison de la pression migratoire

Le Conseil des Maires de Lanzarote soutient la Déclaration d'Urgence Sociale du Cabildo en raison de la pression migratoire

ARRECIFE (LANZAROTE), 3 juillet ( ) –

La Commission des Maires de Lanzarote a soutenu la Déclaration d'Urgence Sociale signée ce mardi par le président du Cabildo, Oswaldo Betancort, en raison de la pression migratoire et de la situation des mineurs migrants non accompagnés sur l'île.

Dans un communiqué, la Corporation insulaire a expliqué que Betancort a expliqué aux conseillers que la décision devait être adoptée parce que les installations pour accueillir ces jeunes débordent et qu'ils font face à un deuxième semestre compliqué.

« Avec environ 250 mineurs migrants dont nous nous occupons régulièrement, Lanzarote subit une pression migratoire insoutenable. Et la situation ne s'améliorera pas dans les semaines à venir. La signature de ce décret vise donc à garantir que nous sommes prêts et que nous obtenons de meilleures infrastructures dans cas nécessaire. Car sinon, ce serait irresponsable », a-t-il souligné.

Betancort a remercié les plus hauts représentants municipaux pour leur soutien face à une mesure de ce type, s'engageant à les tenir « rigoureusement informés » de l'éventuelle ouverture de toute ressource d'hébergement temporaire dans leurs communes.

Pour sa part, en présence des maires de Tinajo, Yaiza, Haría, San Bartolomé, Tías et Arrecife, et devant le maire de Teguise, le ministre de la Protection sociale du Cabildo de Lanzarote, Marciano Acuña, a détaillé les clés du employé d'outil.

« Cette déclaration d'urgence sociale », a-t-il déclaré, « nous permettra de nous préparer à ce qui va bientôt arriver, car nous devons prendre soin de ces garçons et de ces filles qui arrivent ».

Il a également expliqué que Lanzarote ne dispose pas actuellement des ressources nécessaires, « jusqu'à ce que la loi sur l'immigration change et que des critères équitables soient établis pour la répartition des mineurs entre les 17 communautés autonomes espagnoles ».

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