Le gouvernement est d'accord avec les îles Canaries déchargeant 827 migrants dans le système de protection international
Madrid 25 juin (Europa Press) –
Le ministère de la Migration se déverrouira « imminente » dans le système de soins humanitaires et de protection internationale vers 827 mineurs migrants, qui sont ceux que la communauté autonome des îles Canaries a identifié comme candidats à la protection internationale, comme indiqué mercredi des sources de la Commission interminérienne de l'immigration.
Cette décision fait partie de l'accord conclu par le gouvernement d'Espagne et le gouvernement des îles Canaries pour se conformer aux mesures de précaution de la Cour suprême et répondre à la situation des candidats aux mineurs étrangers non accompagnés pour la protection internationale.
L'accord a été conclu ce mercredi après la dernière réunion entre les services juridiques des deux gouvernements (ministères de la politique territoriale, des migrations, de l'intérieur, de l'enfance et du plaidoyer de l'État).
De plus, les mêmes sources ont spécifié que « chaque fichier individualisé » sera étudié pour le garde matériel de chaque mineur et déterminera la ressource de réception.
Plus précisément, un comité de collaboration inter-administratif se réunira « chaque semaine » et agira temporairement lors de l'évaluation individualisée. La prochaine réunion a été située le mardi 1er juillet.
L'accord sera signé cette semaine et s'élèvera conjointement au suprême pour tenir compte des actions réalisées, en coordination et en collaboration entre les deux administrations. L'objectif est d'adopter les mesures nécessaires pour « résoudre la situation, assister à chaque cas de l'individualité et protéger les droits fondamentaux et les meilleurs intérêts du mineur ».
Le gouvernement d'Espagne a apprécié « très positivement » cet accord « , après des mois de travail conjoint » avec les îles Canaries.
En tout cas, ils soulignent que le décret royal qui a été validé au Congrès le 18 mars « est la solution définitive » parce que « répond à la réception de tous les enfants et adolescents qui sont dans cette situation de vulnérabilité », à la fois « à ceux qui ont demandé la protection internationale » et ceux qui ne l'ont pas demandé.