Les îles Canaries croient que cette semaine sera « décisive » pour définir des critères pour la distribution des migrants non accompagnés
Las Palmas de Gran Canaria 3 février (Europa Press) –
Le président des îles Canaries, Fernando Clavijo, a examiné lundi que cette semaine serait « décisive » pour définir les critères de distribution des migrants non accompagnés et que le rapport de plaidoyer de l'État sur le type de formulaires légaux doit être abordé.
C'est ce que Clavijo a dit, dans des déclarations aux journalistes, après avoir été interrogé avant de participer à une loi à l'Université de Las Palmas de Gran Canaria pour le document de distribution des mineurs migrants, soulignant que, actuellement, selon le ministre du Territorial des politiques, Ángel Víctor Torres, le plaidoyer de l'État « fait savoir si une loi sur le décret peut être faite ou une proposition de droit ».
Auquel il a ajouté qu'au cours de la semaine, ils auront également une réunion avec des représentants du ministère de l'enfance pour faire des simulations de partage avec les critères, soit celui de la population, celui du rapport qui a été commandé à Gemma Piñón ou à ceux de la Conférence du secteur.
Enfin, a-t-il précisé, la question du financement restera à résoudre, dont il a indiqué la dernière partie pour effacer les deux inconnues et pouvoir aller « pour rencontrer les groupes politiques.
« Je crois que cette semaine peut être décisive pour définir les critères de distribution et que le plaidoyer de l'État nous informe du type de formes juridiques que nous devons aborder », a-t-il ajouté.
De même, le président de Canarian a considéré que la visite de la Commission de l'enfance et de la jeunesse qui avait eu lieu la semaine dernière, et dans laquelle il pouvait voir « première main » la situation d'El Hierro, ainsi que différents centres de mineurs, ainsi que l'accord pour Pensions, « donne un peu d'espoir de mettre les droits des gens sur les décisions politiques » et du moins la solution recherchée est obtenue, qui est de modifier la loi des étrangers, mais « mais » oui, au moins, libérer des ressources de tous » pression actuelle et garantir les mineurs un projet de vie.