Unides Podem dénonce la « lenteur » des procédures et le taux élevé de refus de l’Office des étrangers
VALÈNCIA, 17 janv. ( ) –
La députée du Congrès de Castelló de Unides Podem, Marisa Saavedra, ainsi que le député Ismael Cortés, de la Commission de l’intérieur, ont posé des questions au ministère de l’Intérieur pour étudier le cas de l’Office de l’immigration de Valence, qui a le refus « plus haut » régularisation des immigrés et délais de résolution « plus longs » que sur le reste du territoire, de sorte que le traitement des dossiers qui sont effectués au bureau « pourrait ne pas être adapté à la loi ».
Saavedra a déclaré dans un communiqué que le Médiateur a reçu plusieurs plaintes concernant le fonctionnement de ce bureau, pour lequel il a émis diverses résolutions, recommandations et suggestions, et dans l’une d’elles, il déclare même que le bureau « n’a pas respecté les principes de rapidité ou bonne foi », a-t-il rappelé.
Le député a déclaré que le dernier cas concernant une mineure de moins de 11 ans, qui vit en Espagne depuis l’âge de sept mois et qui n’a pas pu obtenir d’autorisation de séjour, en tant que mineure non née en Espagne, est « scandaleux », malgré les multiples demandes formulées, et toujours pour des problèmes mineurs ou formels. « Il s’agit d’une violation grave du principe de l’intérêt supérieur de l’enfant », a-t-il déclaré.
Dans ce cas, le Médiateur a statué en faveur du traitement de la documentation de la jeune fille et que « l’intérêt supérieur de la mineure soit pris en considération », et a informé la Direction générale des migrations à ce sujet. .
Cortés a expliqué qu’Unides Podem exige de savoir « si les actions du Bureau de l’immigration de Valence et les résolutions du Bureau du Médiateur vont être prises en compte pour prendre des mesures à cet égard. Nous demandons si le gouvernement envisage de mener à bien tout type d’action pour que dans tous les bureaux d’immigration le principe de l’intérêt supérieur des mineurs soit pris en compte dans ces procédures », a-t-il interrogé.