Dávila regrette le manque de « haute politique » l'immigration et exige qu'elle ne soit pas utilisée comme « arme de lancer » dans l'état
SANTA CRUZ DE TENERIFE, 2 juillet () –
La présidente du Cabildo de Tenerife, Rosa Dávila, a regretté ce mardi qu'il n'y ait pas eu « haute politique » au niveau de l'État en matière d'immigration et qu'il est également utilisé comme « arme de lancer » quand il s'agit de servir avec « dignité » aux migrants arrivant sur les îles.
Lors d'un petit-déjeuner informatif visant à faire le bilan de sa première année de mandat, il a souligné que le phénomène migratoire « Cela continuera » en Afrique à cause des famines, des effets du changement climatique et des processus de guerre et c'est pourquoi il a exhorté le gouvernement et les Cortes à promouvoir un décret-loi pour garantir l'accueil et la répartition des mineurs entre les communautés autonomes.
Il a dit que cela ne pouvait pas être fait « laisser de côté » ce drame humanitaire ni aux îles Canaries, qui souffrent « assaut migratoire » ce qui nécessite une aide financière du gouvernement central, qui doit permettre les postes budgétaires nécessaires.