La Garde civile considère « contrôlée » la tentative de saut d’un demi-millier d’immigrés vers Ceuta sans aucune entrée
CEUTA, 17 novembre ( ) –
Le commandement de la Garde civile de Ceuta a jugé « contrôlée » ce vendredi après-midi la tentative de saut d’un groupe d’environ un demi-millier d’immigrés d’origine subsaharienne qu’il a maintenu déployé dans le périmètre frontalier avec le Maroc dans la ville autonome vers « toutes les troupes disponibles ». » depuis 6h30 du matin sans qu’aucun sans-papiers n’ait réussi à accéder irrégulièrement au territoire espagnol.
Des sources de l’Institut Armé ont félicité Europa Press pour la « collaboration maximale » offerte par les forces de sécurité du pays voisin avec des ressources inédites, comme l’utilisation d’hélicoptères pour contenir le groupe d’immigrés sans papiers dans une tentative qui n’a pas été possible. aucun dossier similaire depuis plus de quatre ans.
La Benemérita de Ceuta a activé toutes ses ressources humaines et matérielles « sur terre, sur mer et dans les airs » pour repousser la tentative de saut, même si elle n’a finalement eu qu’à agir efficacement pour empêcher « environ 200 » immigrants qui ont dépassé les gendarmes marocains. , militaires et policiers ont réussi à escalader la clôture la plus proche du Maroc dans la partie intermédiaire de ses 8,2 kilomètres de longueur, à la hauteur de la Finca Berrocal et du marabout de Sidi Ibrahim.
La Direction Générale de la Police Nationale locale a également déployé ses unités anti-émeutes à la frontière de Tarajal alors que, tôt le matin, on ne savait pas où irait le groupe d’immigrants localisé à l’approche de la ville espagnole sur l’autoroute qui atteint Tanger, ce qui a forcé la paralysie temporaire du transit des personnes et des véhicules avec le Royaume Alaouite.
Des sources des Forces de Sécurité ont expliqué que, bien que dans l’environnement marocain le plus proche de Ceuta il n’y ait aucune preuve de l’existence de camps avec des centaines ou des milliers de sans-papiers comme il y a dix ans, l’organisation « en peu de temps » de tentatives de saut le périmètre frontalier par un groupe d’immigrés d’origine subsaharienne installés dans les villes voisines comme Tétouan ou Tanger.