Le Conseil répond à Vox qu'il ne va pas laisser les mineurs migrants "bloqués" car c'est leur "obligation et compétence"

Le Conseil répond à Vox qu’il ne va pas laisser les mineurs migrants « bloqués » car c’est leur « obligation et compétence »

SÉVILLE, le 7 mars ( ) –

Le ministre de l’Inclusion sociale, de la Jeunesse, de la Famille et de l’Égalité, Loles López, a voulu préciser ce jeudi, devant la séance plénière du Parlement, que le Gouvernement andalou n’allait pas « laisser derrière soi les mineurs migrants non accompagnés qui arrivent dans la communauté ».

C’est ce qu’a déclaré López en réponse à une question du député de Vox Javier Cortés, qui a dénoncé le fait que beaucoup de ces mineurs commettent des « délits » et commettent des « agressions sexuelles », tout en créant une situation d’« insécurité » dans de nombreux Andalous. quartiers, qui est « couvert » par les médias « subventionnés » par le PSOE et le PP.

Il a indiqué qu’il est vrai que l’Office est « sur le point de s’effondrer » en ce qui concerne la prise en charge des mineurs migrants, surtout parce que beaucoup sont « arrivés des îles Canaries sous couvert d’être majeurs et sont mineurs. » « .

« Mais quand ces garçons et ces filles arrivent ici, mon obligation, et c’est ma responsabilité, est de leur donner les ressources dont ils ont besoin », a déclaré la conseillère, soulignant qu’elle va continuer à l’exercer et, en ce sens, elle je ne vais pas les « éviter », les laisser dans la rue pendant que je peux m’en occuper.

« Je ne vais pas les laisser bloqués tant que je peux m’occuper d’eux », a indiqué le conseiller, soulignant que dans le Gouvernement andalou il y a « l’humanité » avec ces mineurs. Il a insisté sur le fait que le Conseil s’en occupe avec ses « poumons » et que des fonds sont exigés de l’Exécutif national, ainsi qu’un plan d’urgence rétroactif.

Pour sa part, Cortés a demandé au conseiller d’exiger que le gouvernement central assure une immigration « légale et ordonnée » et ne facilite pas l’arrivée de menas, en référence aux mineurs migrants.

A lire également