Le diocèse de Cordoue ajoute 50 « Cercles de silence » en cinq ans pour soutenir les immigrés

Le diocèse de Cordoue ajoute 50 « Cercles de silence » en cinq ans pour soutenir les immigrés

CORDOBA, 25 octobre () –

Depuis cinq ans, 50 « Cercles du silence » ont été organisés, dont celui qui aura lieu ce jeudi au Bulevar del Gran Capitán de Cordoue, en soutien aux immigrés, avec la participation de 13 organisations qui travaillent « contre les injustices commises contre des personnes obligées d’abandonner tout et tout le monde pour construire un monde meilleur.

Comme le rapporte le diocèse de Cordoue dans une note, « au cours de ces cinq années, les « Cercles du Silence » ont mis l’accent sur la dénonciation des situations de manque de protection et de vulnérabilité des femmes victimes de la traite des êtres humains, en assumant des titres tels que « Traite, argent du sang » ou « Économie sans traite des êtres humains » et en se concentrant sur les difficultés spécifiques « qui touchent les immigrés », qui ont également été soulignées lors de la célébration des cercles, ainsi que sur les thèmes développés au cours des années 2019 et 2020 qui ont à voir avec les droits des migrants.

Ces cercles ont pour objectif de « donner de la visibilité et de revendiquer la dignité de groupes qui, même s’ils appartiennent à l’Union européenne (UE), souffrent de marginalité, comme dans le cas des gitans d’origine roumaine, à qui le cercle s’intitule « Accueil = Intégration : dans les familles gitanes roumaines ou « Ne m’étiquetez pas, j’ai un nom », dans lesquels il était affirmé que l’identité personnelle est au-dessus de la nationalité, car « si celle-ci est annulée, une déshumanisation est générée ».

En outre, les « Cercles de silence » ont été développés pour « montrer les aspects de la migration qui ajoutent de la discrimination sociale et qui ont été révélés dans des titres faisant référence aux difficultés des femmes qui travaillent et des migrantes ».

La protection des enfants a également été un objet de réflexion pour les « Cercles du Silence » dans la défense des mineurs migrants non accompagnés et également à l’égard des jeunes libérés par les administrations à l’âge de 18 ans.

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