Le PP exige du Gouvernement un Plan d'Immigration et que la répartition des mineurs soit pour toutes les Communautés Autonomes "sans exception"

Le PP exige du Gouvernement un Plan d'Immigration et que la répartition des mineurs soit pour toutes les Communautés Autonomes « sans exception »

MADRID, 14 juillet () –

Le Groupe parlementaire populaire exige que le gouvernement ait un plan global de politique d'immigration et que la répartition des mineurs soit pour toutes les communautés autonomes « sans exception », entre autres mesures.

C'est ce qu'indique un communiqué publié à la presse ce dimanche, un jour avant que le PSOE, Sumar et le CC n'enregistrent au Congrès le projet de réforme de la loi sur l'immigration, comme prévu ce lundi.

Le PP prévient qu'il n'acceptera pas « des gains ou des améliorations » sur une question d'État comme celle-ci, en référence à la proposition, et prévient que la politique d'immigration doit impliquer de s'entendre sur des propositions « avec le principal parti d'opposition, et non d'imposer des mesures ».

Ils proposent ainsi de déclarer l'urgence migratoire pour l'ensemble du territoire national, qu'il y ait un engagement financier de la part de l'Exécutif et que la répartition des mineurs soit pour toutes les communautés autonomes « sans exception ».

Le PP exige également des politiques de coopération avec les pays d'origine et, comme indiqué dans le communiqué, le Groupe Populaire « n'acceptera pas que le gouvernement tente de dissimuler et d'ignorer le manque de solidarité de ses partenaires indépendantistes du Junts et de l'ERC avec de fausses attaques ». contre le Parti Populaire et les communautés autonomes où il gouverne ».

En outre, les populaires déshonorent l'Exécutif pour avoir présenté une proposition de loi au lieu d'un projet de loi, puisque ce dernier « aurait été accompagné des rapports juridiques des organes consultatifs et de l'essentiel du rapport économique ».

De même, le GPP regrette que cette question n'ait pas été soulevée lors d'une Conférence des Présidents, comme l'avaient demandé les représentants des communautés lors de la dernière Conférence sectorielle sur l'enfance, « étant donné qu'il s'agit d'une question qui affecte la politique générale de l'État et de toute la LACC ».

« Il serait très regrettable que le refus du gouvernement de convoquer cet organe tente de cacher la position injuste et peu solidaire des partenaires qui le soutiennent au pouvoir et avec lesquels le gouvernement de Catalogne négocie ces jours-ci », indique le communiqué.

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