Le projet 'Voices of Immigrant Women' présente ses recommandations pour l'intégration des femmes migrantes

Le projet ‘Voices of Immigrant Women’ présente ses recommandations pour l’intégration des femmes migrantes

SÉVILLE, 22 sept. ( ) –

Des professionnels qui travaillent pour améliorer la situation du groupe de migrants, des responsables politiques de la gestion des migrations, des représentants du tiers secteur, des universitaires et des chercheurs du projet européen « Voices of Immigrant Women » (VIW) se réunissent ce jeudi à l’Université Pablo de Olavide pour présentent les résultats obtenus par huit entités. Le consortium, coordonné par l’UPO, travaille depuis deux ans dans le but de parvenir à une société plus inclusive grâce à une compréhension du phénomène migratoire dans une perspective internationale et de genre.

Grâce au financement du programme Erasmus + de l’Union européenne, ‘Voices of Immigrant Women’ a développé sa recherche afin de promouvoir un système d’enseignement supérieur inclusif en abordant l’important défi social que représentent les migrations et, plus spécifiquement, les flux migratoires de femmes. dans le contexte européen actuel.

À cette fin, trois aspects pertinents ont été pris en compte : premièrement, le besoin qui existe au niveau transnational de s’attaquer aux causes et aux conséquences de la migration, ainsi qu’aux processus d’intégration et d’inclusion. Deuxièmement, le manque de formation sur la migration avec une perspective de genre dans une approche interdisciplinaire. Et, enfin, le rôle important que jouent les universités dans la recherche, la formation et l’engagement social.

À cette fin, le projet VIW a développé trois résultats finaux, présentés par l’équipe internationale, dans lesquels il analyse des initiatives pour l’inclusion sociale des femmes migrantes (Carte d’études de cas) ; essaie d’améliorer la formation des professionnels et des agents qui travaillent sur les processus migratoires avec une perspective de genre à partir des droits de l’homme (plan d’apprentissage en ligne); et guide les décideurs politiques dans l’enseignement supérieur et l’intégration des migrants avec des clés pratiques (Livre de recommandations politiques. Migrations, genre et inclusion dans une perspective internationale).

Ils sont le fruit d’un travail interdisciplinaire auquel ils ont collaboré, avec l’Université Pablo de Olavide, l’Institut de Recherche pour le Développement (France), l’Università Degli Studi di Firenze (Italie), Pixel-Associazione (Italie), la Organisation européenne de droit public (Grèce); Culturale Instituto Politecnico de Braganza (Portugal), Fundación EMET Arcoiris (Espagne) et Mirovni in*titut (Slovénie).

Teresa Terrón, directrice de ‘Voices of Immigrant Women’ et professeure à l’UPO, a été chargée de présenter le projet lors de la première session de la journée, avec Rosa Díaz, doyenne de la Faculté des sciences sociales de l’Université ; Jesús Toronjo, directeur général des politiques migratoires de la Junta de Andalucía ; María Jesús Herrera, de l’Organisation internationale pour les migrations en Espagne ; et Ana Pellicer, de la Maison de l’Amérique.

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