L'UGT informe l'Inspection du travail d'un éventuel "travail irrégulier" à Lucena pour les olives

L’UGT informe l’Inspection du travail d’un éventuel « travail irrégulier » à Lucena pour les olives

CORDOBA, le 29 novembre. () –

La présence d’immigrés qui dorment dans les rues de Lucena (Córdoba) et la « non-existence des quotas demandés dans la campagne en cours » pour la récolte des olives ont conduit l’UGT Córdoba à réfléchir à la possible « existence de travail irrégulier et non régulier ». contrôlé sous tous ses aspects, nous informerons donc l’Inspection du Travail des éventuelles irrégularités qui pourraient être commises ».

L’objectif, comme le rapporte le syndicat dans une note, est de « connaître la véritable situation de ces travailleurs et de garantir qu’ils puissent travailler de manière adéquate à la récolte des olives ».

En effet, à l’UGT, on ignore « qu’il y a eu des appels à des travaux de récolte des olives » par le biais de quotas, « en raison de la pénurie de production qui existe dans la campagne en cours. De plus, la table provinciale créée à cet effet n’a pas été convoquée depuis il y a plus d’un an, entre autres raisons, précisément à cause du manque de production susmentionné, qui pourrait conduire à l’appel officiel de contingents, et qui motiverait la création des moyens nécessaires pour prendre soin de ces personnes.

En vertu de cette disposition et, « si des contingents avaient été demandés, les foyers auraient été activés, entre autres moyens, qui devraient être enregistrés pour obtenir un logement dans les conditions décentes que le Gouvernement andalou lui-même établit », mais « à ce stade temps « Dans la province de Cordoue, il n’existe aucun refuge enregistré qui réponde aux conditions et exigences établies par la réglementation andalouse. »

Pour tout cela, à l’UGT-FICA Córdoba, ils vont « mettre en place les moyens nécessaires pour disposer des informations précises qui justifient l’apparition de ces intérimaires dans la zone de Lucena, ainsi que la possibilité que d’autres groupes d’intérimaires puissent existent dans d’autres zones de la province de Cordoue ».

Enfin, à l’UGT-FICA Córdoba, ils comprennent que « ce devraient être les municipalités qui doivent réguler la situation dans laquelle se trouvent ces personnes dans leurs localités, au-delà de leur fournir les besoins qui sont requis à cette période de l’année pour qu’ils puissent avoir une maison décente. »

A lire également