L'UNICEF applaudit la validation de la distribution des mineurs migrants et demande qu'il est obligatoire de les écouter un par un
Madrid 10 avril. (Appuyez sur Europa) –
L'Espagne de l'UNICEF a applaudi la validation ce jeudi par le Congrès des députés de la loi du décret royal pour distribuer des migrants non accompagnés et a demandé à être une « condition obligatoire » écouter chaque mineur.
« Il nous semble une étape cruciale dans l'approche de cette crise d'immigration déjà si longtemps.
Comme l'on le rappelle l'UNICEF, ces enfants, qui fuient leur pays pour les guerres, la violence et la faim et arrivent après des « routes très dures », ils le sont lorsqu'ils arrivent avec une situation « paradoxale » en raison de la saturation, le système de protection de l'enfance « , au lieu de les protéger finit par leur générer et leur violation de leurs droits. »
Par conséquent, l'ONG de l'enfance considère « fondamental » que « dès que possible » les critères d'application du plan de réponse envisagé dans le décret royal qui autorise les transferts « avec toutes les garanties légales et le plus haut niveau de protection est établi » dès que possible. «
En outre, l'Espagne de l'UNICEF exige que ce plan inclue « une condition obligatoire en écoutant les enfants et les adolescents pour évaluer les meilleurs intérêts de chacun et détecter les besoins spéciaux ».
Il considère également que les communautés autonomes croient que « les nouvelles ressources dans tous les types de soins », à la fois la résidence et les soins familiaux, lorsqu'ils n'ont pas les endroits nécessaires pour faire face à l'arrivée des enfants assignés. Le système, selon l'ONG, permet une extension de lieux « qui doit être accompagné d'un financement adéquat et suffisant par l'administration générale de l'État ».
Selon l'UNICEF, afin que ce changement soit mis en œuvre, il doit y avoir « la coopération institutionnelle et la co-responsabilité » de l'administration d'État générale, de toutes les communautés autonomes, mais aussi du bureau du procureur, des municipalités, du système éducatif et de la santé pour garantir l'accès aux services essentiels.
« Ces transferts peuvent changer la vie de ces enfants si des entités locales, des écoles et des centres de santé sont également impliqués pour assurer leur accès complet à ces services essentiels en tant que pilier fondamental de leurs droits et de leur inclusion sociale et communautaire », a déclaré Collantes.