Le Kif-Kif appelle à une régularisation extraordinaire face à la proposition du gouvernement de racines d'emploi

« Vélez doit fournir les moyens requis par la Police et le PSOE pour arrêter de se ridiculiser avec le CATE »

MURCIE, 30 oct. () –

« Le transfert à pied vers le CATE des migrants arrivant à Carthagène dans une petite embarcation démontre une fois de plus l’incapacité du délégué du gouvernement à gérer ce problème », selon le conseiller « populaire » Diego Ortega.

« Non seulement il a insisté pour installer un CATE dans un endroit dont personne ne veut, mais il n’a pas non plus été en mesure de garantir l’approvisionnement, le transport ou l’autorisation de débarquer au quai Carbone. Les immigrés doivent se déplacer pour marcher sur une autoroute la nuit pour arriver à un CATE sans alimentation électrique en raison de l’incompétence du Délégué. Et pour couronner le tout, le PSOE de Carthagène veut amener les bateaux à Santa Lucía », a-t-il ajouté.

Pour l’édile du PP, « Vélez s’est trompé et chaque jour qui passe montre davantage son incompétence. Il a insisté pour l’emmener à El Espalmador car il avait un quai à proximité, mais il n’a pas l’autorisation d’utiliser le quai, ni pu obtenir des camionnettes pour effectuer le transfert, comme l’ont dénoncé les syndicats de la Police nationale ».

Pour Ortega, le délégué du gouvernement fait une gestion chaotique des petits bateaux et le PSOE de Carthagène l’accompagne dans la catastrophe. « Maintenant, les socialistes de Carthagène sont capables d’amener les bateaux à Santa Lucía afin de dissimuler l’incompétence du délégué. Santa Lucía n’est pas la solution lorsque le délégué n’a pas de véhicules pour transporter les immigrés. »

« Vélez doit fournir les moyens requis par la police et le PSOE de Carthagène doit essayer d’être moins ridicule. Vélez doit accélérer le transfert du CATE et doter la police de Carthagène de plus d’agents et de véhicules adéquats. Et le PSOE de Carthagène, pour une fois, devrait défendre les intérêts des habitants de Carthagène et non ceux du délégué du gouvernement qui laisse la police et les immigrés bloqués », conclut Ortega.

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