Junts veut que Catalan soit une exigence de résidence aux étrangers, mais suppose qu'il dépendra du Generalitat

Junts veut que Catalan soit une exigence de résidence aux étrangers, mais suppose qu'il dépendra du Generalitat

Le dernier mot sur les expulsions proviendra du gouvernement central, qui prendra en compte l'opinion de la commission de sécurité catalane

Madrid, mars (Europa Press) –

Junts veut que Catalan soit une exigence de résidence aux étrangers, mais suppose qu'il dépendra du Generalitat, présidé par le socialiste Salvador Illa, car des sources de formation sur l'accord avec le PSOE ont révélé mardi pour donner au Catalogne les pouvoirs d'immigration.

En ce sens, ces mêmes sources garantissent que la loi inclut «l'outil» afin que le généralitat puisse l'appliquer et, par conséquent, peut donner un «respect à la culture et aux valeurs» de la Catalogne. D'après la formation, ils défendent que ce serait une exigence indispensable pour eux s'ils gouvernent, mais reconnaissent que c'est le généralit qui devrait l'exécuter.

En ce sens, la proposition de la loi pour la délégation des compétences en immigration vers les demandes de Catalogne, par les migrants, le «respect des valeurs civiques» et la «connaissance linguistique et culturelle». « Avec la demande de supposer d'une manière intégrale de la délégation des compétences, la Catalogne est attachée à un modèle de gestion basé sur la création d'une série de droits inclusifs, mais aussi de devoirs clairs, à la fois par les personnes qui atteignent notre pays et par la société catalane qui les accueille. Ils définissent notre société « , explique le texte, consulté par Europa Press.

Le pacte entre les socialistes et l'indépendance comprend également l'inclusion des Mossos d'Esquadra dans la gestion de l'immigration à Borders, une œuvre qui sera effectuée en coordination avec la police nationale et la garde civile. Cette coordination expliquée par les sources de formation sur l'indépendance sera en charge du conseil de sécurité catalan et considérera que cela signifiera un grand défi pour le GeneralitAt car il délégue des « compétences complètes » pour les mossos dans ce domaine.

Où ils n'auront pas la concurrence seront en matière telle que le trafic d'armes ou les problèmes liés à la sécurité nationale parce que « pour l'instant », cela reste la compétence des forces et des organes de sécurité de l'État.

D'un autre côté, ils soulignent que le dernier mot sur les expulsions proviendra du gouvernement central, qui prendra en compte l'opinion du comité de sécurité catalan, dans lequel un dossier est requis. Dans ces cas, ils indiquent que la Catalogne peut faire des propositions de résolution desdites procédures de sanction pour les actions menées par des personnes naturelles résidant dans le domaine de la communauté autonome.

En outre, ils expliquent que la Catalogne sera configurée comme une «fenêtre unique» sur leur territoire des autorisations de séjour à long terme, de résidence temporaire et de résidence à long terme; comme cela émettra le document d'identité pour les étrangers, basé sur le Nie de l'État espagnol. Le nombre de mossos de 1 800 soldats sera également augmenté, jusqu'à atteindre le chiffre total de 26 800 agents.

Quant aux fonds dont la Catalogne a besoin pour gérer les compétences en migration, les sources de JUNS affirment que les ressources économiques nécessaires seront transférées pour être effectuées.

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