Le capitaine d'un bateau à Almería qui s'est égaré en mer est condamné à plus de quatre ans de prison

Le capitaine d’un bateau à Almería qui s’est égaré en mer est condamné à plus de quatre ans de prison

ALMERIA, 1er mai. ( ) –

Le Tribunal supérieur de justice d’Andalousie (TSJA) a confirmé une peine de prison de quatre ans et un mois à l’encontre du skipper d’un bateau « venu s’égarer, ne disposant pas de réserves de carburant suffisantes » pour que ses dix occupants, dont trois mineurs, ils devaient être secourus par un bateau de tourisme battant pavillon anglais « qui leur donnait de l’eau à boire et qui s’appelait Maritime Rescue ».

Le navire de quatre mètres de long et de 1,5 mètre de large, qui était parti à l’aube la veille, était équipé d’un moteur de 40 chevaux pour effectuer le voyage, qui était gêné par la brume et le brouillard, ce qui entraînait une mauvaise visibilité. , selon la phrase.

En ce sens, la résolution considère comme prouvé que vers 16h35 le 17 mai de l’année dernière, le Service Maritime Provincial de la Garde Civile a localisé le bateau dans lequel voyageaient au total dix personnes, dont trois mineurs d’âge. , parti vers 3 heures du matin la veille d’une plage d’Oran.

Les occupants du bateau, d’origine algérienne et maghrébine, avaient été transportés depuis les côtes algériennes en échange d’un prix pour leur introduction en Espagne « hors la loi ». Le bateau « ne remplissait pas les conditions requises pour un voyage de ces caractéristiques », puisque les deux points se trouvaient à quelque 86 milles.

Le navire susmentionné était piloté par l’accusé, qui manquait de connaissances nautiques et « a agi à tout moment en sachant parfaitement qu’il agissait à l’encontre des dispositions de la loi espagnole sur l’immigration ».

L’embarcation manquait d’éléments de sécurité individuels pour les immigrés et deux des siens, il manquait des éléments de sauvetage, des moyens de navigation, de lutte contre l’incendie et de cale ou des équipements de communication radio. Ce jour-là, l’état de la mer était agité, avec des vagues entre 0,5 et 1,25 mètre, diminuant jusqu’à une mer agitée, avec des vagues entre 0,10 et 0,5 mètre.

L’arrêt rejette l’appel interjeté par la défense contre la version des faits offerte par deux témoins protégés en preuve préconstituée, considérant cet acte « valide », notamment en raison de sa « pluralité » et en l’absence d’un éventuel motif fallacieux, puisqu’à A l’époque, un dossier d’expulsion a été déposé contre eux avec le reste des occupants du bateau, sans qu’aucun d’entre eux n’ait demandé de titre de séjour à la date du procès.

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