Le programme Socio-Health Care du conseil d'administration dessert environ 4 000 tempêtes marocaines de la fraise à Huelva
Huelva 31 mai. (Appuyez sur Europa) –
Le ministère de l'inclusion sociale, de la jeunesse, des familles et de l'égalité, par le biais de la coordination générale des politiques de migration, finance un programme spécifique exécuté par la Croix-Rouge pour les soins socio-santé et la médiation interculturelle destinée aux femmes migrantes du Maroc qui participent à la campagne agricole des fruits rouges à Huelva, dans le cadre de la migration circulaire. Au cours de cette campagne, l'attention a déjà été accordée à 3 855 femmes, dont 1 173 reçoivent actuellement un soutien socioculturel et une surveillance socio-santé.
Comme indiqué par le conseil d'administration dans une note, ce service, disponible 24 heures sur 24 tout au long de la campagne, est conçu pour donner une réponse globale aux besoins qui surviennent pendant leur séjour, avec des soins de santé, l'accompagnement dans les rendez-vous médicaux, les conseils psychosociaux, l'attention pendant les séjours à l'hôpital, le soutien dans les procédures administratives et les problèmes liés à la santé sexuelle et reproductive, entre autres.
Selon les données fournies par la sous-élégation du gouvernement à la Croix-Rouge, le nombre de femmes travailleuses marocaines avec une entrée efficace en Espagne à la fin avril s'est élevé à 15 759. Ce chiffre reflète une « augmentation remarquable » en ce qui concerne les campagnes précédentes et « montre la pertinence croissante de la femme contingente dans le système de contrat d'origine ».
Le service socio-santé du conseil d'administration cherche à favoriser l'autonomie personnelle, la coexistence dans le travail et l'environnement résidentiel et l'accès efficace aux services publics, le tout avec une « approche respectueuse, étroite et culturellement adaptée », afin de « réduire l'impact émotionnel et social qu'une campagne de travail prolongée peut signifier loin du pays d'origine ».
L'équipe qui fournit le service est composée de professionnels des connaissances spécifiques en matière de médiation interculturelle et de soins psychosociaux, qui dominent plusieurs langues, notamment l'arabe, Dariya, le français et l'espagnol, qui « garantit » une communication « efficace » avec les travailleurs.
D'après la Direction générale de la coordination générale des politiques de migration, ce programme se distingue comme « une expression claire de l'engagement du gouvernement andalou à la garantie des droits sociaux et de santé des travailleurs migrants ». De même, la «valeur» de ce type d'actions est mise en évidence pour «promouvoir la coexistence positive et humaine et humaine des flux migratoires du travail».
Ce service fait également partie de la stratégie de coordination intenstitutionnelle promue par le conseil d'administration de l'Andalousie pour favoriser le travail du réseau et la coopération public-privé, des facteurs « indispensables » pour « une attention adéquate » à ces travailleurs « , dont l'effort et la contribution sont essentiels pour le secteur agricole Huelva et Andalousie. »
